[FR] « Le Cercle de l’Harmonie dans le rôle des séducteurs instrumentaux, Wolfram Koch (narrateur), Jacquelyn Wagner (soprano), Marianne Beate Kielland (mezzo-soprano) ainsi que le Chœur symphonique féminin de la Philharmonie de Vienne (direction Walter Zeh) dans le rôle des séducteurs vocaux ont distillé une magie romantique pure sous la direction de Jérémie Rhorer. On a pu entendre « La belle Mélusine » et « Le songe d’une nuit d’été » joués avec une verve, une précision rythmique et un ton lyrique et sensible. Pas d’effets visibles, mais une mécanique de précision sensible et une grande prudence. L’aura perdue et la douce magie de ces œuvres ont résonné avec une sûreté instinctive.
Fanny Hensel scène Faust II comme Héro et Leander, quelle fusion facile des mots et de la mélodie. Le langage s’unit sans contrainte à la mélodie, les brillantes idées mélodiques et harmoniques se révèlent dans une beauté sonore et des contrastes dramatiques. Tout semblait couler de source, avec une confiance intuitive mutuelle. »
[EN] « Le Cercle de l’Harmonie in the role of the instrumental seducers, Wolfram Koch (speaker), Jacquelyn Wagner (soprano), Marianne Beate Kielland (mezzo-soprano) as well as the Symphonic Women’s Choir of the Vienna Philharmonic Orchestra (conducted by Walter Zeh) in the role of the vocal seducers exuded pure romantic magic under the direction of Jérémie Rhorer. With verve, rhythmic precision and a sensitively lyrical tone, the audience heard « Die schöne Melusine » and « A Midsummer Night’s Dream ». No superficial effects, instead sensitive fine mechanics and caution. The lost aura and gentle magic of the works were instinctively brought to life.
Fanny Hensel’s Faust II scene like Hero and Leander, what a smooth fusion of word and melody. Language merged effortlessly with melody, brilliant melodic and harmonic ideas revealed themselves in rapturous beauty of sound and dramatic contrasts. Immensely adept, intuitively trusting each other, everything seemed to flow. »