Le Cercle de l’Harmonie explore le lien entre classicisme et romantisme, élargissant progressivement son répertoire vers des œuvres plus tardives. Cette démarche les conduit aujourd’hui de Rossini à Verdi, jusqu’à Wagner, en passant par l’école française (Méhul, Auber, Berlioz…) et les grands symphonistes du XIXe siècle comme Mendelssohn, Schumann, Brahms ou Bruckner, toujours avec une attention fine aux équilibres sonores et à la clarté du discours.